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Antoine211
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Les intrus
florian- Messages : 203
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- Message n°101
Re: Les intrus
Je pense aussi que contrairement aux autres films de la liste, "le Grande sommeil" est d’abord à rangé dans la catégorie des œuvres à l’imagerie artificielle. Il est tourné en studio, et l’éclairage est travaillé en exagérant certains effets, afin de créer un univers non réaliste.
Antoine211- Messages : 133
Date d'inscription : 18/08/2010
- Message n°102
Re: Les intrus
Tu appelles ça quelque chose d'incontestable ? :-)
Un petit indice : un novice en cinéma qui verrait les cinq films pourrait trouver l'intrus. Pas la peine de s'y connaître.
Un petit indice : un novice en cinéma qui verrait les cinq films pourrait trouver l'intrus. Pas la peine de s'y connaître.
florian- Messages : 203
Date d'inscription : 19/08/2010
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- Message n°103
Re: Les intrus
Du coup je ne vois pas du tout, mis à part que c'est un film constitué de beaucoup de dialogues, et que c'est la parole qui fait avancer l'action.
J’ai une question, car soudainement j’ai un doute !
"Le grand sommeil" que tu propose dans la liste, c’est bien la version avec Humphrey Bogart, et non la version de 1978 Avec robert Mitchum ?
Ma question peut paraitre évidente pour certains, mais pas tant que ça pour d’autres, vu que Robert Mitchum est très largement considéré pas les amateurs de films noir, comme étant l’acteur ayant donné la meilleur incarnation de Philip Marlowe à l’écran, que ce soit dans "le grand sommeil" et dans "Adieu ma jolie". Et ces deux version "du grand sommeil" sont formellement trés différentes.
J’ai une question, car soudainement j’ai un doute !
"Le grand sommeil" que tu propose dans la liste, c’est bien la version avec Humphrey Bogart, et non la version de 1978 Avec robert Mitchum ?
Ma question peut paraitre évidente pour certains, mais pas tant que ça pour d’autres, vu que Robert Mitchum est très largement considéré pas les amateurs de films noir, comme étant l’acteur ayant donné la meilleur incarnation de Philip Marlowe à l’écran, que ce soit dans "le grand sommeil" et dans "Adieu ma jolie". Et ces deux version "du grand sommeil" sont formellement trés différentes.
Antoine211- Messages : 133
Date d'inscription : 18/08/2010
- Message n°104
Re: Les intrus
Je pensais, et j'aurais en effet dû le signaler, à la version d'Howard Hawkes, avec Bogart et Bacall. Mais, même si je n'ai pas vu celle de 1978 avec Mitchum, je pense qu'elle ferait aussi ici un bon intrus (même si je ne peux évidemment pas l'assurer).
florian- Messages : 203
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- Message n°105
Re: Les intrus
Franchement je ne trouve pas !
Antoine211- Messages : 133
Date d'inscription : 18/08/2010
- Message n°106
Re: Les intrus
Il y a quelque chose dans les quatre autres films qu'il n'y a pas dans Le Grand Sommeil.
florian- Messages : 203
Date d'inscription : 19/08/2010
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- Message n°107
Re: Les intrus
Il n'y a pas de décors naturels dans le grand sommeil ! (mais je crois l'avoir déjà signalé)
Antoine211- Messages : 133
Date d'inscription : 18/08/2010
- Message n°108
Re: Les intrus
Tu vas chercher trop loin. Un novice verrait la différence s'il visionnait ces cinq films à la suite.
J'ajoute un indice : il y a un "passage" dans quatre de ces films qu'il n'y a pas dans l'intrus (même si ce passage n'est pas identique, bien sûr, entre ces quatre films).
J'ajoute un indice : il y a un "passage" dans quatre de ces films qu'il n'y a pas dans l'intrus (même si ce passage n'est pas identique, bien sûr, entre ces quatre films).
florian- Messages : 203
Date d'inscription : 19/08/2010
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- Message n°109
Re: Les intrus
En fait il y a très longtemps que j’ai vu "le soupirant", et je ne me souviens plus très bien si dans ce film on y chante, ... Je crois, mais j’ai un doute !
Dans "La Rivière Subarna, je ne sais pas, mais je me souviens très bien qu’on y chante dans "pierrot le fou" et "Lili Marleen".
Donc je mise là-dessus, en proposant qu’aucun comédien ne chante dans "le grand sommeil".
Dans "La Rivière Subarna, je ne sais pas, mais je me souviens très bien qu’on y chante dans "pierrot le fou" et "Lili Marleen".
Donc je mise là-dessus, en proposant qu’aucun comédien ne chante dans "le grand sommeil".
Antoine211- Messages : 133
Date d'inscription : 18/08/2010
- Message n°110
Re: Les intrus
Ta persévérance paye !
Dans Le Soupirant, le héros tombe amoureux d'une chanteuse célèbre. Il la voit et entend sa chanson à la télévision.
Dans La Rivière Subarnarekha, comme dans de nombreux films indiens classiques, un personnage chante ses états d'âme.
Dans Pierrot le fou, les deux protagonistes poussent joliment la chansonnette.
Et dans Lili Marleen, la chanteuse interprète plusieurs fois la chanson éponyme.
Dans Le Soupirant, le héros tombe amoureux d'une chanteuse célèbre. Il la voit et entend sa chanson à la télévision.
Dans La Rivière Subarnarekha, comme dans de nombreux films indiens classiques, un personnage chante ses états d'âme.
Dans Pierrot le fou, les deux protagonistes poussent joliment la chansonnette.
Et dans Lili Marleen, la chanteuse interprète plusieurs fois la chanson éponyme.
florian- Messages : 203
Date d'inscription : 19/08/2010
Age : 43
Localisation : Paris
- Message n°111
Re: Les intrus
Ouf , …. J’y suis enfin arrivé ! Très bonne proposition d'intrus en tous cas Antoine, fallait y penser !
Donc à moi de proposer une énigme intrus :
-La Comtesse aux pieds nus (de Joseph L. Mankiewicz).
-Muriel, ou le temps d'un retour (d'Alain Resnais)
-Limite (de Mario Peixoto).
-Il était une fois en Amérique (de Sergio Leone).
-La glace à trois face (de Jean Epstein).
Donc à moi de proposer une énigme intrus :
-La Comtesse aux pieds nus (de Joseph L. Mankiewicz).
-Muriel, ou le temps d'un retour (d'Alain Resnais)
-Limite (de Mario Peixoto).
-Il était une fois en Amérique (de Sergio Leone).
-La glace à trois face (de Jean Epstein).
Antoine211- Messages : 133
Date d'inscription : 18/08/2010
- Message n°112
Re: Les intrus
Il était une fois en Amérique, parce que son héros n'est pas féminin ?
florian- Messages : 203
Date d'inscription : 19/08/2010
Age : 43
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- Message n°113
Re: Les intrus
Non ce n’est pas cela, d’ailleurs le héros de "La glace à trois face" est également un homme.
Non, je dirais que l’intrus a quelque chose de différent au niveau de sa réalisation.
Cette différence dans la réalisation, découle d’un scénario dont la structure dramaturgique le rend très différent des quatre autres films de la liste.
Non, je dirais que l’intrus a quelque chose de différent au niveau de sa réalisation.
Cette différence dans la réalisation, découle d’un scénario dont la structure dramaturgique le rend très différent des quatre autres films de la liste.
florian- Messages : 203
Date d'inscription : 19/08/2010
Age : 43
Localisation : Paris
- Message n°114
Re: Les intrus
Je donne un nouvel indice :
Si à la place de l’intrus à trouver, j’avais mis dans la liste l’un de ces films : "M le maudit", "Full métal Jacket" où "After hours", ils seraient également des intrus.
Par contre, si j’avais mis "Le jour se lève", "les vestiges du jour" où "Rashomon", ils n’auraient pas été des intrus.
Si à la place de l’intrus à trouver, j’avais mis dans la liste l’un de ces films : "M le maudit", "Full métal Jacket" où "After hours", ils seraient également des intrus.
Par contre, si j’avais mis "Le jour se lève", "les vestiges du jour" où "Rashomon", ils n’auraient pas été des intrus.
Marwan- Messages : 69
Date d'inscription : 18/08/2010
Age : 37
Localisation : Lyon
- Message n°115
Re: Les intrus
Je dirais alors "Muriel ou le temps d'un retour" de Resnais car il ne comporte aucun flashback est la construction est hyper linéaire.
florian- Messages : 203
Date d'inscription : 19/08/2010
Age : 43
Localisation : Paris
- Message n°116
Re: Les intrus
C'est gagné Marwan, c'est bien ça !
Chacun de ces films est construits narrativement à partir d’une forme de flash-back de retour sur le passé.
A l’inverse, "Muriel ou le temps d’un retour" ne contient pas le moindre flash-back.
"La Comtesse aux pieds nus et "la glace à trois face" Ont une forme de flash-back identique à celui de "Citizen Kane" où "les ensorcelés". La narration suit le passé d’un personnage à partir de plusieurs point de vus de personnages différents, afin de dessiné le portrait d’un personnage.
"Il était une fois l’Amérique" a le même type de flash-back que "le jour se lève". Il s’agit d’un seul point de vue d’un personnage sur lui-même, à différents moments de son passé.
C’est pareil pour "limite", sauf que dans celui-ci, c’est trois personnages qui sont dans la même situation, et qui reviennent chacun à leur tour sur leur propre passé personnel (il y a ici trois passés différents).
A l’inverse, bien que le scénario de "Muriel ou le temps d’un retour" soit entiérement tourné vers le passé(comme Hiroshima mon amour), il ne contient pas le moindre flash-back.
le film met en présence des personnages de la vie courante. Dont l’intérêt est ici orienté vers leur comportement familier plus que vers des événements extérieurs. La matière du film nait de leur rencontre, de leurs rapports, du surgissement de leurs souvenirs.
Ce sont les personnages eux-mêmes qui créent un faisceau d’intrigues, souvent seulement amorcés, et non une intrigue préexistante qui fabrique à son usage des protagonistes.
Il en découle l’impression assez rarement éprouvée au cinéma que les personnages sont libres, qu’ils ne sont pas les pions d’un damier dramatique.
C’est un récit linéaire, Le spectateur peut éprouver quelques surprises devant la forme emprunté par ce jeu de cache-cache du présent et du passé. Bien que la chronologie soit respectueusement observée sans le moindre retour en arrière. Ici le temps est malmené par des ellipses brutales, des sauts dans l’espace, et par l’effritement parcellaire du découpage (le film comporte plus de mille plans, ce qui est tout à fait exceptionnel et va à contre courant de la mode de l’époque qui était le plan-séquence).
Resnais mêle avec bonheur une vision quasi cubiste du monde contemporain, avec un montage proche d’Eisenstein et de l’ancienne école formaliste soviétique.
En plus Alain Resnais refuse toute explication. C’est à nous d’interpréter le film, comprendre les réactions des personnages, expliquer leurs drames.
Chacun de ces films est construits narrativement à partir d’une forme de flash-back de retour sur le passé.
A l’inverse, "Muriel ou le temps d’un retour" ne contient pas le moindre flash-back.
"La Comtesse aux pieds nus et "la glace à trois face" Ont une forme de flash-back identique à celui de "Citizen Kane" où "les ensorcelés". La narration suit le passé d’un personnage à partir de plusieurs point de vus de personnages différents, afin de dessiné le portrait d’un personnage.
"Il était une fois l’Amérique" a le même type de flash-back que "le jour se lève". Il s’agit d’un seul point de vue d’un personnage sur lui-même, à différents moments de son passé.
C’est pareil pour "limite", sauf que dans celui-ci, c’est trois personnages qui sont dans la même situation, et qui reviennent chacun à leur tour sur leur propre passé personnel (il y a ici trois passés différents).
A l’inverse, bien que le scénario de "Muriel ou le temps d’un retour" soit entiérement tourné vers le passé(comme Hiroshima mon amour), il ne contient pas le moindre flash-back.
le film met en présence des personnages de la vie courante. Dont l’intérêt est ici orienté vers leur comportement familier plus que vers des événements extérieurs. La matière du film nait de leur rencontre, de leurs rapports, du surgissement de leurs souvenirs.
Ce sont les personnages eux-mêmes qui créent un faisceau d’intrigues, souvent seulement amorcés, et non une intrigue préexistante qui fabrique à son usage des protagonistes.
Il en découle l’impression assez rarement éprouvée au cinéma que les personnages sont libres, qu’ils ne sont pas les pions d’un damier dramatique.
C’est un récit linéaire, Le spectateur peut éprouver quelques surprises devant la forme emprunté par ce jeu de cache-cache du présent et du passé. Bien que la chronologie soit respectueusement observée sans le moindre retour en arrière. Ici le temps est malmené par des ellipses brutales, des sauts dans l’espace, et par l’effritement parcellaire du découpage (le film comporte plus de mille plans, ce qui est tout à fait exceptionnel et va à contre courant de la mode de l’époque qui était le plan-séquence).
Resnais mêle avec bonheur une vision quasi cubiste du monde contemporain, avec un montage proche d’Eisenstein et de l’ancienne école formaliste soviétique.
En plus Alain Resnais refuse toute explication. C’est à nous d’interpréter le film, comprendre les réactions des personnages, expliquer leurs drames.
Marwan- Messages : 69
Date d'inscription : 18/08/2010
Age : 37
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- Message n°117
Re: Les intrus
Merci pour ton explication Florian, ça m'a donné envie de le revoir!
Aller je me lance, qui est l'intrus?
-La bataille du rail (Rene Clément) 1946.
-Vacances Romaines (William Wyler) 1953.
-Le Carrosse d'Or (Jean Renoir) 1953.
-Le cas du Docteur Laurent (Jean-Paul Le Chanois) 1957.
-Esther (Amos Gitai) 1986.
Aller je me lance, qui est l'intrus?
-La bataille du rail (Rene Clément) 1946.
-Vacances Romaines (William Wyler) 1953.
-Le Carrosse d'Or (Jean Renoir) 1953.
-Le cas du Docteur Laurent (Jean-Paul Le Chanois) 1957.
-Esther (Amos Gitai) 1986.
florian- Messages : 203
Date d'inscription : 19/08/2010
Age : 43
Localisation : Paris
- Message n°118
Re: Les intrus
Bien que je n’aie pas encore vu "Esther", je pense que l’intrus est "Le Carrosse d'or", car son directeur de la photo est son neveu Claude Renoir. Tandis que tous les autres films ont pour chef-opérateur Henri Alekan.
Marwan- Messages : 69
Date d'inscription : 18/08/2010
Age : 37
Localisation : Lyon
- Message n°119
Re: Les intrus
Oui Florian c'est bien ça!
Henri Alekan est un des plus grand directeur de la photographie qu'est connu la France!!!
On lui doit par exemple la photo des "Ailes du desir"!
Henri Alekan est un des plus grand directeur de la photographie qu'est connu la France!!!
On lui doit par exemple la photo des "Ailes du desir"!
florian- Messages : 203
Date d'inscription : 19/08/2010
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Localisation : Paris
- Message n°120
Re: Les intrus
J’ignorais qu’Henri Alekan avait fait la photo des ailes du désir. Mais ça n’est pas étonnant, quand on voit les incroyables éclairages qu'il avait fait de "La belle et la bête" de Cocteau, où de "La princesse de Clèves" de Jean Delannoy !
Aller à moi, quel est l'intrus ?
-Begotten (E. Elias Merhige) 1991
-L'Arche de Noé (Michael Curtiz) 1928
-Et les lâches s'agenouillent (Guy Maddin) 2003
-l'espion (Russell Rouse) 1952
-Five (Abbas Kiarostami) 2003
Aller à moi, quel est l'intrus ?
-Begotten (E. Elias Merhige) 1991
-L'Arche de Noé (Michael Curtiz) 1928
-Et les lâches s'agenouillent (Guy Maddin) 2003
-l'espion (Russell Rouse) 1952
-Five (Abbas Kiarostami) 2003
florian- Messages : 203
Date d'inscription : 19/08/2010
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Localisation : Paris
- Message n°121
Re: Les intrus
Je donne un indice :
Si à la place de l’intrus j’avais placé dans la liste : "Applause" (1929) de Rouben Mamoulian, où "Taxi driver" (1976), ils seraient également des intrus.
A l’inverse, si j’avais mis : "La petite bande" (1982) de Michel Deville, où "Yûkoku"/"Rites d'amour et de mort" (1966) de Yukio Mishima, ils ne seraient pas des intrus.
Si à la place de l’intrus j’avais placé dans la liste : "Applause" (1929) de Rouben Mamoulian, où "Taxi driver" (1976), ils seraient également des intrus.
A l’inverse, si j’avais mis : "La petite bande" (1982) de Michel Deville, où "Yûkoku"/"Rites d'amour et de mort" (1966) de Yukio Mishima, ils ne seraient pas des intrus.
Marwan- Messages : 69
Date d'inscription : 18/08/2010
Age : 37
Localisation : Lyon
- Message n°122
Re: Les intrus
"L'arche de Noé" est le seul film ou des dialogues sont prononcés?
florian- Messages : 203
Date d'inscription : 19/08/2010
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Localisation : Paris
- Message n°123
Re: Les intrus
Exactement Marwan, tu as trouvé !
Les quatre films de la liste n’ont pas le moindre mot prononcé.
"L’arche de Noé" est pourtant une œuvre muette, mais comme tu l’a dis, ce film à la particularité d’avoir quelques minutes de séquences parlantes dialoguées. Scènes par ailleurs complètements inutile et qui ralentissent l’action (j’ai trouvé que ça faisait très surajouté). Cela se faisait beaucoup à ce moment là à Hollywood pour promouvoir plus facilement un film, cela permettait de le sortir en tant que "film Talkie". Un peu comme aujourd’hui avec la 3D, où auparavant avec les effets-spéciaux, c'est-à-dire que même s’il y en a pas besoin, on en rajoute car le public veut voir ça !
J’avais un moment voulu mettre dans la liste "la dernière folie de Mel Brooks" (qui est une œuvre muette), mais le problème c’est qu’il y a qu’un seul mot prononcé par le mime Marceau en personne. Mais j’ai trouvé que c’était un peu trop tiré par les cheveux d’en faire un intrus !
Les quatre films de la liste n’ont pas le moindre mot prononcé.
"L’arche de Noé" est pourtant une œuvre muette, mais comme tu l’a dis, ce film à la particularité d’avoir quelques minutes de séquences parlantes dialoguées. Scènes par ailleurs complètements inutile et qui ralentissent l’action (j’ai trouvé que ça faisait très surajouté). Cela se faisait beaucoup à ce moment là à Hollywood pour promouvoir plus facilement un film, cela permettait de le sortir en tant que "film Talkie". Un peu comme aujourd’hui avec la 3D, où auparavant avec les effets-spéciaux, c'est-à-dire que même s’il y en a pas besoin, on en rajoute car le public veut voir ça !
J’avais un moment voulu mettre dans la liste "la dernière folie de Mel Brooks" (qui est une œuvre muette), mais le problème c’est qu’il y a qu’un seul mot prononcé par le mime Marceau en personne. Mais j’ai trouvé que c’était un peu trop tiré par les cheveux d’en faire un intrus !
Marwan- Messages : 69
Date d'inscription : 18/08/2010
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Localisation : Lyon
- Message n°124
Re: Les intrus
Oui, je suis d'accord avec toi pour "l'Arche de Noé", c'est assez inutile, ça gache même un peu le film.
Alors qui est l'intrus parmis:
-Vacances Romaines (William Wyler, 1953).
-Le mépris (Jean-Luc Godard, 1963).
-Zabriskie Point (Michelangelo Antonioni, 1970).
-Nostalghia (Andrei Tarkovski, 1983).
-Copie Conforme (Abbas Kiarostami, 2010).
Alors qui est l'intrus parmis:
-Vacances Romaines (William Wyler, 1953).
-Le mépris (Jean-Luc Godard, 1963).
-Zabriskie Point (Michelangelo Antonioni, 1970).
-Nostalghia (Andrei Tarkovski, 1983).
-Copie Conforme (Abbas Kiarostami, 2010).
florian- Messages : 203
Date d'inscription : 19/08/2010
Age : 43
Localisation : Paris
- Message n°125
Re: Les intrus
Je me dis que l’intrus est Zabriskie Point, car à premiére vue c’est le seul film de la liste qui ne se déroule pas en Italie.
En plus, je crois que cette fois c’est toi Marwan que avais été déçu par ce film,tandis que moi je l’avais aimé. ;-)
En dehors de cela, je n’ai pas vu le film de Kiarostami copie conforme, et j’hésitais justement récemment à faire l’achat du dvd, donc si quelqu’un l’à vu …
En plus, je crois que cette fois c’est toi Marwan que avais été déçu par ce film,tandis que moi je l’avais aimé. ;-)
En dehors de cela, je n’ai pas vu le film de Kiarostami copie conforme, et j’hésitais justement récemment à faire l’achat du dvd, donc si quelqu’un l’à vu …